Planant sur le festin de la vie
Comme une égérie de
la mort,
Elle défie le destin
et le sort
Depuis qu’un tyran de
Syracuse,
Envié par le flatteur
roi des Orfèvres
Le défia de prendre
sa place sans ruse
Son nom fait frémir
toutes les lèvres
Sur nos vies légères,
de sa lourde existence
Nous ne prenons
pleinement conscience
Que lorsque de nos
têtes, elle se rapproche,
Quand jusqu’à notre
vie elle nous reproche
Comme la vie au ciel
par un fil ténu
Elle résistera de sa
force trapue
Puis s’abattra de son
poids fatal
Elle plane comme la
mort sur nos vies,
Quand frappe la
guerre, la vieillesse ou la maladie
C'est là un beau poème. Est-il de vous ?
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