Petite
réflexion philosophique rédigée entre Rome et Paris,
au
cœur de notre civilisation,
où
les hommes ont été capables de génie
et
que menace désormais la destruction
Lorsque le ciel s’assombrit, non pour
laisser place à l’envol de la chouette de Minerve au crépuscule – selon la
belle formule de Friedrich Hegel –, mais par la percée de nuages qui
s’amoncellent pour recouvrir la civilisation d’un manteau menaçant, la question
philosophique de l’être au monde – ou de l’être face au monde – devrait
naturellement se poser.